Si l'échange de maison est pour nous la plus belle manière de voyager, la plus authentique et la plus humaine, ces qualités peuvent en faire aussi l’une des plus responsables, quand il est pratiqué en respectant les valeurs et les principes qui lui sont propres. Pourquoi ?
- Ensemble, nous luttons contre le tourisme de masse : Parce qu’en échangeant vos maisons, vous échangez aussi un mode de vie. Vous partagez vos astuces, vous visitez des lieux moins touristiques, hors des sentiers battus et vous consommez local. Au lieu de concentrer les voyageurs dans des zones touristiques surexploitées, l’échange de maison valorise les régions et le tourisme local, en utilisant des maisons vides au lieu de seulement saturer les lieux touristiques. Parce que même dans les grandes villes prisées comme Paris, Londres, Madrid ou Barcelone, vos échanges de maison se font dans le respect de la localité : le HomeExchanger vit la ville vraiment, comme un "local".
“Avant HomeExchange, je visitais des villes, aujourd’hui, je les vis entièrement comme un local en prenant le temps. Je vis dans des vraies maisons, pas dans des hôtels, je peux cuisiner et faire mes courses dans les marchés locaux.”
- Rosario
- Nous ne contribuons pas à la surconstruction : Au lieu de bâtir des zones bétonnées et autres infrastructures pour accueillir un tourisme de masse dans des endroits déjà surpeuplés, au lieu de détruire des habitats naturels, l’échange de maison permet de mettre à profit les maisons et appartements vides pendant les vacances, et atténue ainsi l'impact négatif sur l'environnement. L’échange de maison n’est pas financier, il ne favorise pas la surenchère immobilière qui vide certaines villes de leurs habitants ne pouvant plus se permettre de s’y loger.
- Vous créez un tourisme économiquement circulaire et égalitaire : cet été, vous avez économisé près de 15 millions € grâce à l’échange de maison. Ces économies, vous les investissez dans l’économie locale, dans les commerces ou les restaurants de proximité, favorisant ainsi une distribution économique plus égalitaire des bénéfices touristiques. Bien loin de nourrir un tourisme standardisé et destructeur de valeur éthique.
Avec les économies réalisées - “J’ai notamment acheté une peinture d’un artiste que l’on a rencontré dans la rue, qui était alors en résidence d’artiste à Paris. Il était en train de peindre le café dans lequel nous dînons quand nous avons commencé à discuter. Il nous a invité à voir son appartement que nous avons visité avec plaisir. Nous y avons découvert son travail, bu quelques verres, et acheté cette jolie peinture. J’ai adoré ce moment.”
- Anita
- L’échange de maison fait voyager des membres responsables. Souvent aujourd’hui le touriste est spectateur d’une culture, il la regarde sans l’explorer. L’échange de maison replace l’engagement, la volonté, les contraintes de temps au centre de vos expériences. Qui de vous n’a pas galéré avant de trouver son premier échange ? Bien souvent d’ailleurs, vous partez découvrir des lieux auxquels vous n’aviez pas pensé avant, parce qu’on vous a proposé un échange. C’est aussi cela, voyager responsable : ne pas céder à la satisfaction d’une envie en un clic d’achat de billet d’avion et de réservation d’hôtel ; accepter les contraintes et les possibilités rationnelles. Vous faites de longs chemins avant d’arriver à vos destinations : vous prenez des dispositions particulières pour découvrir une région, puis vous adoptez le regard d'un habitant du coin. Vous accueillez chez vous en retour. Vous faites des efforts pour comprendre et vous immerger dans la culture locale. Voyager responsable, c’est respecter une culture que l’on ne connaissait pas forcément.
“L’échange de maison est une manière unique pour moi de promouvoir un tourisme collaboratif. Si aujourd’hui dans le tourisme tout se paye, beaucoup de choses ont une valeur supérieure à la valeur seulement commerciale. Dans notre famille nous adorons découvrir de nouveaux endroits mais ce qui fait la différence surtout dans nos voyages, ce sont les relations que nous créons avec ceux que nous rencontrons.”
- Myriam